fr
de
it
en
es
nl
 Visiteur Anonyme 
Accueil
Base de données
 - 
Accueil base de données
 - 
Notre charte
  Les observations
    - 
Synthèse annuelle
  Les galeries
    - 
Toutes les photos
  Statistiques d'utilisation
Qu'est-ce que la migration ?
Les sites de migration
Connaître les migrateurs
Ressources et liens
La mission migration
Les partenaires
Marouette de Baillon (Zapornia pusilla)
Fig. 1 - anonyme (Wikipedia)
Fig. 1

Marouette de Baillon, Porzana pusilla (Pallas, 1776)

Classification (Ordre, Famille) : Gruiformes, Rallidés

Description de l’espèce

Rallidé de très petite taille, à peine celle d’un Etourneau sansonnet Sturnus vulgaris, la Marouette de Baillon présente un dos brun, largement vermiculé de noir et de blanc, formant des bandes longitudinales sur le dos. Ces marques sont également présentes, en moins grand nombre, sur les ailes (couvertures). Le dessous est gris bleuté chez l’adulte, avec les flancs et les sous-caudales assez fortement rayés de noir et de blanchâtre. Les deux sexes sont semblables, la femelle ayant toutefois une gorge un peu plus pâle. Les pattes sont longues et verdâtres avec de longs doigts, le bec jaunâtre et l’œil rouge.

Le jeune est principalement brunâtre avec des stries blanches et noires sur le dos comme l’adulte et présente une poitrine nettement barrée de brun sur fond crème grisâtre.

La mue post-nuptiale est complète et touche les rémiges de façon simultanée. Certains oiseaux muent sur leurs sites de reproduction entre juin et septembre, mais la majorité le fait sur les quartiers d’hivernage, migrant alors en plumage usé. Une mue prénuptiale partielle, mal connue a également lieu. Chez les jeunes oiseaux, une mue partielle, post-juvénile concerne essentiellement le corps et la queue. La chronologie de la mue est très variable, certains oiseaux muant sur les quartiers d’hiver, d’autres étant presque en plumage adulte à l’automne, avec tous les intermédiaires (CRAMP et al., 1998).

Les vocalisations de la Marouette de Baillon sont difficiles à entendre. Non seulement l’espèce ne chante que de nuit, mais en plus le chant est une sorte de trille aigu, assez lent, grinçant, de faible portée (en général guère plus de 100 mètres) et ressemblant fortement au chant de la grenouille verte (Tous les oiseaux d’Europe, J-C ROCHE, CD n° 2/ plage n° 17).

Longueur totale du corps : 16 à 18 cm. Poids : entre 30 et 50 g.

Difficultés d’identification (similitudes)

L’identification du genre Porzana est un exercice délicat, d’autant que les espèces ont des habitudes furtives. La Marouette ponctuée P. porzana, plus grosse, ne présente pas trop de risques de confusion. La Marouette poussin P. parva est en revanche très proche de la Marouette de Baillon. Elle s’en distingue notamment par la tache rouge à la base du bec, les flancs unis (ou presque) et, surtout, les ailes plus longues, dépassant la queue quand l’oiseau se déplace à terre. Chez la Marouette de Baillon, les ailes sont plus courtes que la queue (ou de longueur égale).

Répartition géographique

La Marouette poussin a une répartition étendue. Elle niche de façon assez dispersée de l’Europe occidentale jusqu’au Japon, dans une ceinture géographique courant le long de la Sibérie centrale. Elle niche également localement en Afrique du Nord (Maroc, Tunisie) mais aussi en Asie Mineure, de même qu’au sud jusqu’en Iran et dans le nord de l’Inde. D’autres sous-espèces se rencontrent en Afrique de l’Est et du Sud, à Bornéo, en Nouvelle-Guinée, en Nouvelle-Zélande, en Australie et jusque sur certaines îles du Pacifique (DEL HOYO et al., 1996).

Les populations du Paléarctique occidental hivernent surtout en Afrique sub-saharienne. Il est probable que des oiseaux restent plus au nord, en Afrique du Nord comme au Moyen-Orient, mais en faible effectif (DEL HOYO et al., op. cit.).

En France, la Marouette de Baillon est un nicheur très rare. Les cas restent sporadiques. Au cours des années 1990 et 2000, elle a été signalée nicheuse ou supposée telle, dans le Doubs, en Dombes, dans l’Ain, en Loire-Atlantique, mais aussi en baie de Somme et en Camargue (DUBOIS et al., 2000, FREMONT et le CHN, 2003, 2005). L’espèce s’observe aussi en migration prénuptiale.. La plupart des observations ont lieu dans le Midi, mais également en Corse. Elle est plus rare encore à l’automne, s’observant alors davantage sur la côte atlantique (DUBOIS et al., op. cit.).

Il n’existe qu’une donnée de décembre en France.

Ecologie

La Marouette de Baillon fréquente un spectre assez large de milieux humides, le plus souvent doux, mais parfois saumâtres (voire même salés). Les marais bas, les bords d’étang à végétation palustre fournie, les cariçaies ou les jonchaies, les tourbières humides, les prairies inondables, les milieux humides temporaires sont autant d’habitats recherchés par l’espèce en période de reproduction. A la différence de la Marouette poussin, elle évite assez la végétation palustre haute (phragmitaies pures).

En migration, on la rencontre dans une variété d’habitats encore plus grande, incluant le bord des grandes roselières, les bassins de décantation, les lagunes, les sablières, les bord végétalisés des rivières et des fleuves.

Comportement

La migration pré-nuptiale se déroule de la mi-mars à début mai avec un pic à la mi-avril, puis un second début mai. La migration post-nuptiale se déroule surtout fin août et début septembre et concerne principalement de jeunes oiseaux.

Particulièrement discrète et furtive, la marouette de Baillon ne s’observe réellement qu’au cours de ses migrations pendant lesquelles elle fréquente des milieux moins fermés, ses mœurs étant alors moins nocturnes. On la voit alors, marchant lentement le long de la ceinture végétale, à la recherche de sa nourriture, s’éclipsant à la moindre alerte. Elle est le plus souvent solitaire. Elle chante au printemps (surtout fin mai et début juin, mais jusqu’en juillet), de nuit. L’intensité du chant semble être maximale au cœur de la nuit, bien que la Marouette de Baillon puisse chanter dès le crépuscule, notamment lorsque la densité de chanteurs est importante (DUBOIS, comm. pers.).

Reproduction et dynamique des populations

C’est à partir de la seconde quinzaine de mai que la majorité des nicheurs se manifestent sous nos latitudes. Le couple, monogame, semble uni le temps de la période de reproduction. La bigamie n’est pas exclue (CRAMP et al., 1998).

Le nid est le plus souvent bâti à terre, dans la végétation épaisse, jamais loin de l’eau, ou sur un monticule émergeant. Il s’agit d’une coupe composée de feuilles mortes et de débris végétaux, ayant parfois un dôme de végétation pour le dissimuler. Il est construit par les deux sexes.

La ponte compte 6 à 8 œufs de couleur beige jaunâtre fortement maculés de brun et de jaune.

Les œufs sont couvés pendant 17 à 20 jours, apparemment par les deux sexes. La couvaison commence dès le premier œuf, si bien que les naissances sont asynchrones.

Les jeunes sont nidifuges et sont nourris par les parents les premiers jours de leur vie. Ils deviennent rapidement autonomes. La période d’envol survient vers 35 jours, mais les poussins sont indépendants un peu avant.

L’âge de la première reproduction est d’un an. Le succès de reproduction est inconnu (CRAMP et al., op. cit.).

Régime alimentaire

La Marouette de Baillon est omnivore, bien que son régime alimentaire soit majoritairement composé d’insectes aquatiques, aussi bien de larves que d’adultes. Les crustacés également figurent à son menu, parfois de petits poissons, des lézards, de même que des plantes vertes et des graines.

Habitats de l’Annexe I de la Directive Habitats susceptibles d’être concernés

3160 - Lacs et mares dystrophes naturels (Cor. 22.14)

3170* - Mares temporaires méditerranéennes (Cor. 22.34)

3270 - Rivières avec berges vaseuses avec végétation du Chenopodion rubri p.p. et du Bidention p.p. (Cor. 24.52)

3280 - Rivières permanentes méditerranéennes du Paspalo-Agrostidion avec rideaux boisés riverains à Salix et Populus alba (Cor. 24.53)

6410 - Prairies à Molinia sur sols calcaires, tourbeux ou argilo-limoneux (Molinion caeruleae) (Cor. 37.31)

6420 - Prairies humides méditerranéennes à grandes herbes du Molinio-Holoschoenion (Cor. 37.4)

6440 - Prairies alluviales inondables du Cnidion dubii (Cor. 37.23)

7230 - Tourbières basses alcalines (Cor. 54.2).

Statut juridique

Espèce protégée en France (article 1er de l’arrêté modifié du 17/04/81), inscrite à l’Annexe I de la Directive Oiseaux, à l’Annexe II de la Convention de Berne et à l’Annexe II de la Convention de Bonn (pour la sous-espèce intermedia présente en Europe, en Afrique et en Asie).

Espaces protégés

De par sa rareté, l’espèce ne fréquente pas beaucoup les espaces protégés. De plus, en migration, elle s’arrête souvent dans des milieux de taille réduite. Quelques sites où l’espèce a niché ou a tenté de nicher ces dernières années sont désignées en ZPS. C’est le cas de la Camargue, Bouches-du-Rhône, de la baie de Somme et des marais arrière-littoraux picards (partiellement en Réserves naturelles), Pas-de-Calais et Somme, le bassin du Drugeon en Franche-Comté, de la vallée de la Loire, Loire-Atlantique.

En période de migration prénuptiale, certains sites où l’espèce est assez régulière sont également désignés en ZPS. C’est le cas de la basse vallée du Var, dans les Alpes-Maritimes, de la baie d’Audierne, dans le Finistère et la lagune de La Belle-Henriette en Vendée, par exemple.

Etat des populations et tendances d’évolution des effectifs

Comme pour la Marouette poussin, il est difficile de connaître avec précision les effectifs nicheurs d’Europe où elle est considérée comme rare (statut défavorable). La taille de la population y a été revue à la baisse, ne dépassant pas 760 à 3 200 couples au début des années 2000 (BirdLife International, 2004). L’Espagne, où l’effectif estimé en 1994 était considéré comme le plus gros contingent de nicheurs en Europe (3 000 à 5 000 couples), ne compterait actuellement pas plus de quelques dizaines de couples (maximum de 52 selon DIES & DIES, 2003). Manifestement, la population y avait été largement surestimée (Tucker & Heath, 1994). Le bastion de la population reproductrice se trouve en Russie (500 à 2 500 couples), les autres pays n’accueillant pas plus de 100 couples (Bulgarie, Serbie et Croatie).

En France l’espèce est particulièrement rare et considérée comme Vulnérable. Actuellement, les effectifs supposés nicheurs ne doivent guère dépasser les 10 couples (DUBOIS et al., 2000). Il est très probable que l’espèce ait été plus commune par le passé. En 1936, MAYAUD la disait « probable dans la plus grande partie de la France » et elle devait être sans doute plus commune que la Marouette poussin. A la fin du XIXème siècle et au cours de la première moitié du XXème siècle, elle a été signalée nicheuse dans toutes les grandes régions au nord de la Loire, mais aussi en Vendée (marais Poitevin), en Creuse, en Brenne, en Dombes ou encore en Camargue. Au tournant des années 1970, les cas de reproduction se sont alors considérablement raréfiés. De même, l’espèce semble avoir été une migratrice plus commune, notamment au printemps, au moins dans le sud de la France (Camargue), si l’on en juge par les oiseaux prélevés à la chasse (17 oiseaux tués fin mars 1926).

En résumé, l’espèce a clairement été en régression en France à partir du milieu du XXème siècle. Depuis lors, elle n’a pas retrouvé ses effectifs d’antan, même si elle reste probablement peu détectée au printemps par manque de recherches systématiques.

Menaces potentielles

Les menaces qui pèsent sur cette marouette sont similaires à celles auxquelles est confrontée la Marouette poussin, avec en premier lieu la perte des habitats.

Peut-être plus encore que l’espèce précédente, les exigences écologiques de cette marouette sont strictes, puisqu’elle affectionne les marais à végétation palustre basse (cariçaies par exemple) ; autant de milieux devenus rares en France. Le drainage, le curage des queues d’étang ou encore la transformation des étangs en zones de pisciculture ont contribué largement, au cours des années 1960 et 1970, à cette régression. De nombreux petits marais ont été asséchés ou détruits au cours de la seconde moitié du XXème siècle, ce qui a concouru à la disparition de l’espèce dans maintes régions (entre autres dans le Grand Ouest).

Comme pour la Marouette poussin, la réduction continue des surfaces de roselières et des ceintures de végétation palustre est engendrée par l’homme, mais aussi par certaines espèces comme le ragondin Myocastor coypus et le rat musqué Ondatra zibethicus.

Certaines plantes invasives comme les jussies Jussia sp. peuvent également modifier profondément le linéaire de végétation palustre en envahissant cette zone de lisière.

Enfin, il se pourrait que la concurrence acoustique avec les amphibiens diminue la portée des chants des mâles au moment de la formation des couples (CHAPUIS, 1994). Pour des espèces à faible effectif, l’impact d’un tel facteur n’est sans doute pas négligeable.

D’autres menaces existent probablement, mais nécessitent confirmation : conditions d’hivernage en Afrique et sur le pourtour méditerranéen, capacité d’accueil des sites de migration (souvent de petite taille et sans protection particulière), etc.

En migration, les sites qui accueillent l’espèce restent très aléatoires en France, à l’exception de quelques-uns. Ainsi des micro-sites dans les Alpes-Maritimes, ou ceux, de taille restreintes où l’espèce a niché récemment en baie de Somme, ne bénéficient pas d’une protection suffisante (pour les premiers) ou sont sans doute très fragiles (pour les seconds).

Propositions de gestion

Les grandes roselières et les ceintures de végétation aquatique partiellement submergée (carex, typha,…) doivent être maintenues. Il est indispensable d'assurer une bonne qualité de l'eau et de maintenir les niveaux en période printanière et estivale. Les "queues" d'étangs avec leurs différents cortèges floristiques doivent être conservées.

La Marouette de Baillon pourrait profiter de l'acquisition foncière, de la gestion contractuelle ou de la mise en réserve de phragmitaies, de cariçaies ou d'autres formations végétales palustres qui peuvent garantir la présence des rallidés dans bien des zones humides, même parfois sur des sites isolés de petite superficie.

Des mesures de conservation ont déjà été initiées dans plusieurs zones humides majeures par les associations, les conservatoires d’espaces naturels, les fédérations de chasse,… (Marais de l’Ouest, Camargue,…), mais ne concernent à ce jour que des surfaces modestes qu’il convient d’étendre.

Des interventions de gestion contrôlée dont l'objectif est de créer des clairières au sein des roselières en voie d'atterrissement semblent bénéfiques aux rallidés (Trotignon, 2000). De telles interventions pourraient favoriser les marouettes là où elles sont présentes.

D’une manière générale, les petites zones humides doivent faire l’objet de mesures conservatoires systématiques. Elles recèlent souvent une micro-faune (amphibiens, insectes) et une flore tout à fait remarquable dont le maintien bénéficie à l'ensemble de l'avifaune paludicole.

Etudes et recherche à développer

Les recherches à mener en France, sont identiques à celles proposées pour la Marouette poussin.

Les exigences écologiques de la Marouette de Baillon en France sont pour l’heure peu connues. De même, le statut de l’espèce reste à préciser.

Cet oiseau chante de nuit, souvent très tard ou très tôt le matin et, en dehors de quelques recherches ponctuelles ici et là, aucun recensement quantitatif n’a été à ce jour entrepris. Il serait utile d’organiser ce type de travail à l’échelle nationale, qui inclurait alors non seulement cette espèce, mais aussi les deux autres marouettes nicheuses, de même que d’autres espèces qui se manifestent la nuit (oiseaux, batraciens...). On pourrait ainsi avoir une idée plus précise de l’importance de la population nicheuse française.

Le chant de la Marouette de Baillon semble influencé par l’heure de la nuit, mais aussi par les conditions météorologiques, réduisant les périodes d’activité et la détectabilité de l’espèce. Le dénombrement requiert la participation d’un grand nombre d’ornithologues de terrain. Un tel recensement pourrait être envisagé par la mobilisation de plusieurs partenaires, dont le réseau « Oiseaux d’Eau-Zones Humides » coordonné par l’ONCFS.

Des techniques de dénombrements standardisés des rallidés par repasse ont été développées (LOR & MALECKI, 2002) et mériteraient d’être appliquées aux marouettes comme cela se pratique sur les rallidés américains depuis plus d’une décennie (GIBBS & MELVIN, 1993).

Bibliographie

BirdLife International. (2004).- Birds in Europe: population estimates, trends and conservation status. BirdLife International, Conservation Series No. 12. Cambridge, UK, 374 p.

CHAPUIS, C. (1994).- La Marouette de Baillon Porzana pusilla in YEATMAN-BERTHELOT, D. & JARRY, G. Atlas des Oiseaux Nicheurs de France. SOF, Paris, 776 p.

CRAMP, S. L., SIMMONS, K. E. L., Snow, D. W. & Perrins, C. M. (1998).- The Complete Birds of the Western Palearctic on CD-ROM.Version 1.0 for PC, 1998. Oxford University Press. London, UK.

DEL HOYO, J., ELLIOTT, A. & SARGATAL, J. Eds. (1996).- Handbook of the birds of the world. Vol. 3 Hoatzin to Auks. ICBP. Lynx Edicions, Barcelona, 820 p.

DIES, J. I. & DIES, B. (2003).- Polluela chica Porzana pusilla.  In: Martí, R. & Del Moral, J.-C. Atlas de las Aves Reproductoras de España. Dirección General de Conservación de la Naturaleza – Sociedad Española de Ornitología, Madrid : 124-125.

DUBOIS, P.J., LE MARECHAL, P., OLIOSO, G. & YESOU, P. (2000).- Inventaire des Oiseaux de France. Nathan/HER, Paris, France, 397 p.

FREMONT, J.-Y. et le CHN (2003).- Les oiseaux rares en France en 2001- 20e rapport du Comité d’Homologation. Ornithos, 10 (2) : 49-83.

FREMONT, J.-Y. et le CHN (2005).- Les oiseaux rares en France en 2003 - 22e rapport du Comité d’Homologation. Ornithos, 12 (1) : 2-45.

GIBBS, J. P. & MELVIN, S. M. (1993).- Call-response surveys for monitoring breeding waterbirds. Journal of Wildlife Management, 57 (1): 27 – 34.

LOR, S. & MALECKI, R. A. (2002).- Call-response surveys to monitor marsh bird population trends. Wildlife Society Bulletin, 30 (4): 1195 – 1201.

MAYAUD, N. (1936).- Inventaire des Oiseaux de France. Blot Editeur, Paris, 211 p.

Trotignon, J. (2000).- Des étangs pour la vie. Améliorer la gestion des étangs. Atelier Technique des Espaces Naturels, Montpellier, 70 p.

TUCKER, G. M. & HEATH, M. (1994).- Birds in Europe. Their Conservation Status. BirdLife International, Conservation Series n° 3. Cambridge, U. K. 600 p.

Source: Cahiers d'habitat Oiseaux

Visionature
VisioNature est un outil développé avec la collaboration du réseau LPO. Grâce aux technologies Internet, débutants, amateurs et professionnels naturalistes, peuvent partager en temps réel leur découverte et ainsi améliorer la connaissance et la protection de la faune

Biolovision Sàrl (Switzerland), 2003-2024