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Bergeronnette grise (Motacilla alba)
Fig. 1 - AB H Baas (Saxifraga)
Fig. 1

Bergeronnette grise Motacilla alba alba, Linné, 1758 et Bergeronnette de Yarrell, M. a. yarrellii, Gould, 1837.

Synonyme : Lavandière grise, Hochequeue grise

Classification (Ordre, Famille) : Passériformes, Motacillidés

Description de l’espèce

La Bergeronnette grise est un passereau à silhouette élancée, remarquable par sa longue queue noire bordée de blanc qu’elle agite perpétuellement. Les pattes noires et les ailes noires et blanches sont des critères constants quelle que soit la sous-espèce, l’âge ou le sexe. Dans la forme type M. a. alba, le mâle présente, en plumage nuptial, des joues et un front blancs encadrés par une calotte et un plastron noirs, mais disjoints, et un dos gris argenté. La ligne de démarcation entre la calotte noire et le dos gris est nette. Les flancs sont gris clair et le ventre est blanc pur. En période inter-nuptiale, le plumage est similaire sauf au niveau du plastron qui devient blanc sous le cou, ne laissant plus apparaître qu’un collier noir. En toutes saisons, la femelle adulte est similaire au mâle avec toutefois des teintes moins franches principalement au niveau de la calotte, moins étendue et moins noire, qui se fond progressivement dans le gris du dos. Les juvéniles possèdent des teintes essentiellement grises et blanches, parfois faiblement jaunâtres aux joues, mais jamais noires principalement au niveau du collier, le ventre étant par ailleurs blanc sale.

La Bergeronnette de Yarrell M. a. yarrellii est une sous-espèce dont les mâles se distinguent, en plumage nuptial, par le noir profond des parties supérieures contrastant avec le blanc pur des joues, du front, des côtés du cou et des parties inférieures ; la calotte et le plastron, jointifs, délimitent un masque, les flancs étant aussi plus gris anthracite. La femelle ne se différencie guère du mâle si ce n’est par le noir du dos, moins étendu et de teinte cendrée. En hiver, le plastron se réduit également à un collier mais les parties supérieures deviennent plus ternes principalement chez la femelle. Le juvénile, très variable, présente en général des teintes plus sombres et olivâtres que chez M.a. alba, un croupion plus sombre, généralement aussi foncé que la queue et des flancs plus nettement marqués.

Les adultes muent complètement de juillet à septembre et partiellement en hiver, tandis que la mue post-juvénile s’effectue entre juillet et septembre et ne s’achève qu’au printemps suivant.

En vol, la silhouette de la Bergeronnette grise est caractéristique, avec sa longue queue et son vol ondulé alternant battements rapides des ailes et glissades. Le chant, émis au printemps, est composé d’un babil varié, tandis que les cris sont fréquemment émis lors des déplacements aériens (Tous les oiseaux d’Europe, J-C ROCHE, CD 3/plage 56).

Longueur totale du corps : 18 cm. Poids : 21-22 g (18-28 g). Il n’y a que peu de différences entre les sexes et les deux sous-espèces, les longueurs d’ailes étant toutefois un peu plus grandes chez les mâles que chez les femelles.

Difficultés d’identification (similitudes)

Deux espèces peuvent être sources de confusion. La Bergeronnette des ruisseaux (Motacilla cinerea) parfois difficile à distinguer en vol à distance, a la queue plus longue, une silhouette plus fine, des pattes roses et, en tout plumage, y compris juvénile, possède du jaune vif au moins au niveau du croupion et des sous-caudales. La Bergeronnette printanière (Motacilla flava) ne prête à confusion qu’en plumage juvénile ou femelle, mais la silhouette est plus ramassée, la queue plus courte, et les parties supérieures sont franchement brunâtres.

Répartition géographique

La Bergeronnette grise sous ses différentes sous-espèces niche dans tout le Paléarctique au sud de l’isotherme de 4° de juillet (CZAJKOWSKI, 1991) et ponctuellement en Alaska et en Asie. Dans la zone paléarctique, elle n’est absente que des zones nivales et désertiques ainsi que de certaines îles arctiques et, en Afrique du Nord, ne niche qu’au Maroc.

En hiver, l’espèce déserte les zones les plus septentrionales d’Europe et d’Asie et se disperse de l’Allemagne à la Turquie, au sud d’une ligne incluant l’ex-Yougoslavie et la Bulgarie. En Afrique, elle atteint l’équateur à l’Est, mais ne dépasse guère la Gambie à l’Ouest. Les sous-espèces asiatiques se dispersent de la péninsule arabique au sud de la Chine (CRAMP et al., 1988).

La Bergeronnette de Yarrell ne niche que dans les Iles Britanniques et s’installe ponctuellement sur le continent sur une frange littorale allant du Danemark à la Bretagne.

En France, la Bergeronnette grise type est largement répandue mais absente de certaines îles. Considérée comme nidificatrice dans tout le pays par MAYAUD (1936), elle reste largement répartie lors des deux atlas suivants (YEATMAN, 1976 ; VOISIN, 1994) à l’exception de la Corse où l’espèce ne niche que de façon épisodique (THIBAULT, 1983) et du littoral méditerranéen peu peuplé. Elle est en expansion récente dans le Vaucluse d’après OLIOSO (1996) et elle a niché pour la première fois avec certitude en Camargue en 1997 (TATIN, 1997). Dans toutes les autres régions françaises, l’espèce est bien présente de la plaine à la montagne où elle a été trouvée nicheuse jusqu’à 2645 m dans les Alpes (GLUTZ VON BLOTHEIN & BAUER, 1985) et à près de 2000 m dans les Pyrénées-Orientales (AFFRE, 1980).

La Bergeronnette de Yarrell est un nicheur très rare en France, le plus souvent apparié à la forme type et produisant des hybrides aux plumages très divers (SUEUR, 1982 ; TRIPLET, 1983). Cette sous-espèce se reproduit principalement dans le Nord-Pas-de-Calais (FLOHART, 1996). En Picardie, les cas de reproduction sont littoraux et forts rares (SUEUR, 1978 ; BAWEDIN, 1995), de même qu’en Normandie où ils sont peu documentés (OLLIVIER, 1938 ; COLLETTE, 1989) et en Bretagne, où par deux fois des couples mixtes ont été mentionnés (ALLAIN, 1997). En région parisienne, GROLLEAU & GROLLEAU (1977) citent trois cas en 80 ans (de 1894 à 1976). Enfin, dans le Jura, un couple mixte a élevé trois poussins en 1996 à Rémoray dans le Doubs (MICHELAT, 2003).

La distribution hivernale de la sous-espèce type couvre les trois-quarts de la France, l’espèce devenant rare à l’Est d’une ligne allant des Ardennes à l’Ain (CZAJKOWSKI, op. cit.) et en altitude (Massif Central, Alpes). La majorité de la population se concentre du nord-ouest au sud et concerne pour une large part des oiseaux originaires du nord-ouest de l’Europe (données de baguage).

En hivernage, la sous-espèce yarrellii domine en Normandie, en Bretagne (DUBOIS & YESOU, 1993) et sur le littoral atlantique (YESOU 1989), tout en devenant plus rare au sud du département de la Charente-Maritime. Elle ne pénètre que ponctuellement en Picardie (BAWEDIN, op. cit. ; SUEUR, 1997), est rare en région parisienne (NORMAND & LESSAFRE, 1977), dans le Jura (MICHELAT, op. cit.), en Champagne-Ardenne (NOEL, 2002) et devient très rare dans le Sud : Aude (DEBRU, 1956), Var (CZAJKOWSKI, op. cit.).

Ecologie

En toute période, la Bergeronnette grise est une espèce recherchant les milieux dégagés à végétation rase. En période de nidification, les couples sont en général disséminés dans la campagne. Le bocage lui est très favorable avec son réseau de chemins et sa mosaïque de fermes, terrains nus, points d’eau… Les bords des cours d’eau, des canaux et des étangs lui conviennent bien, mais elle s’installe aussi dans des milieux secs. Les fermes sont habitées à la faveur de la moindre mare ou de la présence d’un tas de fumier (COLLETTE, op. cit.) et elle s’accommode de plus en plus des modifications profondes du paysage : carrières, remblais d’autoroutes ou industriels, agglomérations. Peu farouche, la proximité de l’homme ne la gêne pas, au contraire, puisqu’elle trouve autour des bâtiments, bien souvent, nourriture et logement, aussi bien en montagne (chalets, bergeries), qu’en plaine (super-marchés, stations service, hangars, vieux véhicules immobilisés, trous de constructions) et sur le littoral (ports, digues, écluses). En hiver, si le bocage, le bord des cours d’eau, le littoral et la plaine sont encore fréquentés, l’essentiel des oiseaux se rencontre dans les villes ou leurs faubourgs.

Comportement

La Bergeronnette grise type est migratrice. Les premiers passages post nuptiaux s’effectuent fin août ; ils culminent en septembre en Normandie (BEAUFILS, 1988), mais se prolongent jusqu’en novembre à travers la France (FLOHARD, 1987 ; CZAJKOWSKI, op. cit.). Les oiseaux français hivernent pour la plupart du Sud de la France au Maghreb. Les premiers retours s’effectuent début mars.

La Bergeronnette de Yarrell est principalement sédentaire mais les migrateurs arrivent en France plus tard, d’octobre à novembre (YESOU 1989).

Territoriale en période de reproduction, la Bergeronnette grise devient beaucoup plus grégaire en fin d’été et en hiver. Les premiers dortoirs apparaissent dès juin en zone rurale à proximité des pelouses où elle se nourrit (BERNARD, 2003). Ce n’est qu’au cours de l’automne et durant l’hiver, quand les températures sont plus basses, que les bergeronnettes se regroupent dans des dortoirs urbains. Divers milieux sont utilisés pour la nuit : arbres d’alignement, toits plats des bâtiments, roselières. Ces regroupements peuvent accueillir plusieurs centaines d’individus principalement dans l’Ouest et le Sud-Ouest de la France, plus rarement à l’Est et atteignent parfois plusieurs milliers d’oiseaux.

Dans la journée, les oiseaux se dispersent en ville, dans les faubourgs - trottoirs et parkings de supermarchés sont très appréciés - dans les espaces verts et dans la campagne avoisinante. Ils y recherchent des graines ou de menus insectes et sont connus pour y défendre leurs territoires de gagnage lorsque les conditions atmosphériques se durcissent (DAVIES, 1982). Le soir venu, les oiseaux convergent vers des pré-dortoirs avant de s’installer pour la nuit dans le dortoir proprement dit souvent éclairé par des lampadaires (GEROUDET, 1998). Cette propension à arpenter le macadam n’est pas sans effet sur la santé des bergeronnettes qui présentent bien souvent des nécroses importantes au niveau des doigts (2% à Caen et Saint-Lô) allant jusqu’à l’atrophie, certains oiseaux ne se déplaçant plus que sur des moignons.

La composition sub-spécifique de ces dortoirs est encore discutée (CZAJKOWSKI, op. cit. ; DUBOIS & YESOU, op. cit. ; YESOU, 1989 ; VINCENT & PESSON, 1991) dans l’Ouest de la France. En Normandie, seule région où des opérations de captures massives ont été effectuées aux dortoirs (Saint-Lô et Caen), la proportion yarrellii/alba fluctue d’une année à l’autre (de 51% à 81% à Saint-Lô) et d’un site à l’autre (65% à Saint-Lô, 97% à Caen) et les contrôles inter-annuels montrent une grande fidélité des oiseaux au site d’hivernage. Les adultes désertent plus rapidement les dortoirs, la proportion de juvéniles augmentant en fin d’hiver.

Reproduction et dynamique de population

La Bergeronnette grise n’atteint que rarement de fortes densités. C’est en général le long des cours d’eau, sur les digues ou les îles que l’on trouve des densités importantes – 18 à 20 couples sur 5 km de levée en bordure de Loire (LE BAIL 1993), cinq couples sur une île de l’Allier d’environ 3 ha (ROCHAUD, 1975), mais de telles concentrations sont l’exception, les couples étant dans l’ensemble plutôt disséminés. Le nid est le plus souvent situé dans une anfractuosité (trou de mur, sous un toit, dans un véhicule abandonné, une paroi rocheuse, sur une poutre, un ancien nid d’hirondelle, …), mais aussi parfois à même le sol sous la végétation herbacée. Il est constitué de brindilles, d’herbes, racines, feuilles et mousses et est plus volumineux en site artificiel que naturel.

La période de ponte s’étale d’avril à la mi-août et les couples effectuent en général deux, plus rarement trois nichées successives. La ponte, généralement de 5 à 6 œufs, est couvée durant 13 jours par les deux sexes. L’envol des jeunes intervient au bout de 13 à 16 jours. En Normandie, la Bergeronnette grise pond en moyenne 5,3 œufs (3 à 6), et produit 4,5 jeunes à l’envol au moins pour les nichées réussies soit 60 %. La dépendance des juvéniles vis-à-vis des parents excède rarement une semaine. La maturité sexuelle est acquise dès la première année et la longévité maximale est de près de dix ans (DEJONGHE, 1983). La Bergeronnette grise fait partie des oiseaux les plus souvent parasités par le Coucou gris, Cuculus canorus (MOREAU, 1991).

Régime alimentaire

Il se compose de petits insectes (moucherons, éphémères, odonates, moustiques, petits coléoptères, lépidoptères) que la Bergeronnette grise capture aussi bien au sol qu’en vol, exceptionnellement de proies plus grosses (jeune Grenouille rousse – TURRIAN, 1987). Elle a été vue par ailleurs cherchant à parasiter des Hirondelles de rivage venant nourrir leurs jeunes (COULON, 1984). Elle consomme aussi des graines et des végétaux qu’elle picore principalement en hiver.

Habitats de l’annexe I de la Directive Habitats susceptibles d’être concernés

1230 - Falaises avec végétation des côtes atlantiques et baltiques (Cor. 18.21)

3220 - Rivières alpines avec végétation ripicole herbacée (Cor. 24.221 & 24.222)

3270 -Rivières avec berges vaseuses avec végétation du Chenopodietum rubri p.p. et du Bidention p.p. (Cor. 24.52)

4020* - Landes humides atlantiques tempérées à Erica ciliaris et Erica tetralix ( Cor. 31.12)

6170 - Pelouses calcaires alpines et subalpines (Cor. 36.4)

8110 - Éboulis siliceux de l'étage montagnard à nival (Androsacetalia alpinae et Galeopsietalia ladani) (Cor. 61.1)

8120 - Éboulis calcaires et de schistes calcaires des étages montagnard à alpin (Thlaspietea rotundifolii) (Cor. 61.2)

8150 - Éboulis médio-européens siliceux des régions hautes (Cor. 61.12)

8160* - Éboulis médio-européens calcaires des étages collinéen à montagnard (Cor. 61.313)

8210 - Pentes rocheuses calcaires avec végétation chasmophytique (Cor. 62.1)

Statut juridique

Espèce protégée (article 1er de l'arrêté du 17 avril 1981), inscrite à l’Annexe II de la Convention de Berne.

Espaces protégés

L’immense majorité des couples se situe dans des espaces non protégés.

Etat des populations et tendances d’évolution des effectifs

Le statut européen est jugé favorable et la population européenne (Russie et Turquie exclues) est estimée à environ 8 à 14 millions de couples, la population de Roumanie étant considérée comme la plus importante avec environ 1,7 million de couples (BIRDLIFE INTERNATIONAL, 2004).

En France, l’effectif nicheur serait compris entre 400 000 et 1,6 million de couples. Cette population ne montre aucune tendance évolutive sur la période 1989-2001 (Suivi Temporel des Oiseaux Communs du Muséum National d’Histoire Naturelle). La population nicheuse de yarrellii y est tout à fait marginale et ne compte que quelques couples nicheurs par an dans la région Nord – Pas-de-Calais, seule concernée régulièrement par des cas de nidification.

Menaces potentielles

Aucune.

Proposition de gestion

La population française est en bonne santé et profite même des activités humaines. Aucune mesure de gestion particulière ne semble donc justifiée.

Etudes et recherches à développer

La biologie de la reproduction de cette espèce pourtant très commune est curieusement mal connue en France. Bien des points restent à préciser qui permettraient de mieux connaître la population de notre pays : densités des couples nicheurs dans différents types de paysages agraires, succès de la reproduction, suivi pluriannuel de ces paramètres, dans quelques régions phare par exemple, avec des méthodes adaptées à l’étude de ce passereau, aux populations très disséminées sur tout le territoire.

L’étude par le baguage de la composition des dortoirs estivaux permettrait de définir l’origine, l’âge-ratio, le sexe-ratio des oiseaux les composant (oiseaux locaux exclusivement ?) et de suivre leur évolution au cours de l’automne.

Quant aux dortoirs hivernaux, il serait utile d’en préciser le fonctionnement notamment par le baguage (rayon d’action des individus, échanges entre dortoirs, origine des oiseaux de la sous-espèce alba hivernant en France).

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Source: Cahiers d'habitat Oiseaux

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