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Milan royal (Milvus milvus)
Fig. 1 - Christian Riols
Fig. 1
Fig. 2 - Source : Urcun et al., 2006
Fig. 2
Fig. 3 - Source : CORA Drôme
Fig. 3

Populations et aire de reproduction 

*Mondiale 

Endémique du Paléarctique Occidental et presque exclusivement européen. Nichait autrefois au Cap Vert (fasciicauda, taxon élevé au rang d’espèce par la plupart des publications récentes, et très probablement éteint depuis le début du 21ème siècle). Le Milan royal ne niche régulièrement que dans 20 pays, dont seulement dix hébergent plus de 100 couples. La moitié de la population niche en Allemagne. L’Allemagne, la France et l’Espagne abritent à elles trois, environ 72% des couples nicheurs. Si l’on ajoute la Suède, le Royaume-Uni et la Suisse, on obtient pour ces six pays environ 93% de la population mondiale, tandis que d’autres pays tels que la Pologne, la Belgique, la République Tchèque ou l’Italie accueillent une population sans cesse croissante. Le Milan royal ne niche pas - ou plus- à l’est de la Mer noire, dans la région de Sotchi (Russie). Quant à la population du Maroc, le nombre de couples n’est pas connu et son statut est incertain. A l’automne 2008, la population mondiale était estimée à 20800 à 24900 couples (Aebischer 2009).

*En France

Population comprise entre 3000 et 3900 couples (environ 15% de la population mondiale), divisée en quatre principaux noyaux (Thiollay & Bretagnolle 2004) : le nord-est (Alsace, Lorraine, Franche-Comté : 35%), le Massif Central (40%), le piémont pyrénéen (15 à 20%) et la Corse (< 10%). L’estimation nationale est de 2656 couples (2335 – 3022) en 2008, à comparer aux 3400 couples de 2000-02 (diminution de 21%) (Pinaud et al., 2009).

*Tendances

En France, l’espèce s’est considérablement raréfiée depuis le 19ème siècle, mais une dynamique d’expansion assez nette fut constatée entre 1975 et 1990 (Thiollay & Bretagnolle 2004) ; il semble que depuis, l’espèce connaisse une nouvelle phase de déclin. A Organbidexka, ces tendances se retrouvent lors du suivi de la migration postnuptiale (OCL, site Internet). En Espagne, les effectifs hivernants ont chuté de 46,4% de 1994 à 2005 (Terrasse 2006). L’inverse est constaté à l’Escrinet au printemps, ce qui semble indiquer une origine différente des oiseaux.

Aire d’hivernage 

*Mondiale 

Un certain nombre de populations sont sédentaires, surtout celles d’Europe du Sud (Espagne, Italie, Corse), également celles de Grande-Bretagne ; dans presque toutes les populations il semble néanmoins y avoir au moins quelques oiseaux sédentaires (Gensbol 2005) ; même une partie de la population suédoise est sédentaire, du fait de l’alimentation fournie par l’homme. Les zones d’hivernage les plus importantes se trouvent sinon en Espagne, où 35500-36200 milans hivernaient en 2005 (Terrasse 2006). Cette population hivernante avait diminué de 50% entre 1994 et 2004 (de la Puente et al. 2009). Quelques individus hivernent en Afrique du Nord et en Turquie.

*En France

On estime à 5800 le nombre d’individus hivernants en janvier 2007, presque uniquement dans le Massif Central et les Pyrénées ; des individus hivernent sinon en nombre très réduit (moins de 200 au total) en Lorraine, Champagne-Ardenne, Franche-Comté et Bouches-du-Rhône (Riols 2007). La France, en plus des individus français, accueille principalement les populations migratrices allemandes (près de la moitié des contrôles hivernaux d’oiseaux marqués dans ce pays l’ont été en France). On notera que l’espèce n’hivernait pas en France avant 1964, date du premier cas d’hivernage relaté, en Côte-d’Or (Dubois et al. 2001). En  janvier, 4905 Milans royaux sont comptabilisés en France (hors Corse) en  2007, 5290 (avec la Corse) en 2008 et 5093 en 2009 (Riols 2009).

MIGRATION 

Type de vol 

Principalement planeur, utilise toutefois volontiers le vol battu. En octobre, période à laquelle migre cette espèce, les ascendances thermiques se font plus rares ; les observateurs de la montagne de la Serre (Menu 1993) notent que l’espèce utilise les ondes de vents créées par la déflection des vents d’ouest au niveau des reliefs. Il s’agit d’une espèce qui se concentrera le long des couloirs thermiques et des détroits (par ex., presque tous les Milans royaux migrateurs suédois passent par Falsterbö, Kjellen 1995).

Groupes

L’espèce est assez sociable en migration. A Organbidexka, les groupes comptent en moyenne plus de 2 oiseaux à partir du 15 septembre ; en octobre, la moyenne des groupes se situe entre 3 et 4 oiseaux, mais les vols les plus importants peuvent atteindre la centaine d’oiseaux (Urcun 1999).

Heure

A Organbidexka, le passage est maximal entre 9h et 14h, avec un faible pic à 13h ; le pic de 13h est plus marqué à la Montagne de la Serre (63).

Vitesse 

En vol plané, se déplace en moyenne à 54 km/h en migration, et en vol mixte (battu et plané), à 37 km/h (Bruderer & Boldt 2001).

Durée et distance 

Le Milan royal est un migrateur à courte ou moyenne distance. L’un des oiseaux Suisses équipé de balise Argos (Oscar) hiverne à 600 km de son territoire estival, et a parcouru jusqu’à 160 km en une journée ; le record observé par l’équipe suisse est de 300 km en une journée. Les oiseaux allemands hivernant en Espagne parcourent environ 1500 km (Hernández-Carrasquilla & Gómez-Manzaneque, 2000). Au total, sept migrations postnuptiales vers l’Espagne et quatre prénuptiales ont été suivies pour neuf individus allemands. Mis à part un jeune qui est parti tôt en août et a mis 47 jours pour atteindre l’Espagne, la migration a commencé durant la première quinzaine d’octobre. Les arrivées au printemps ont eu lieu entre le 5 et 12 mars. Au cours de la migration vers les quartiers d’hivernage, ces oiseaux ont parcouru des distances allant de 1450 à 2320 km, couvertes en 12 à 28 jours par les oiseaux adultes. La migration prénuptiale est un peu plus rapide (entre 8 et 22 jours). Trois membres d’une même famille (le mâle et deux jeunes) ont effectué cette migration séparément et les jeunes ont recherché des zones d’hivernage différentes (Pfeiffer & Meyburg 2009).

Âge-ratio 

A l’automne, on distingue les oiseaux juvéniles des immatures et des adultes par les lisérés clairs qui séparent les rémiges des grandes couvertures et les grandes couvertures des moyennes, par la couleur beige clair des plumes de la poitrine, du ventre et des flancs ainsi que par la différence de pousse entre les rémiges primaires, moins sorties et les autres rémiges qui procure une impression d'aile secondaire gonflée (Urcun 1999). Ainsi, à Organbidexka, les juvéniles migrent dans l’ensemble plus tôt que les oiseaux plus âgés : leur proportion est maximale à la fin du mois de septembre et au début d’octobre, et décroît assez nettement à partir de la deuxième décade d’octobre (Urcun 1999). La même chose est constatée à Falsterbö : les juvéniles migrent plus tôt (Kjellen 1992). Au contraire, au printemps, les observateurs du Hucel notent que les derniers oiseaux à passer sont les immatures (Couvent & Tête en l’Air 2006).

Trajet migratoire

Migrateur partiel. Les oiseaux suédois quittent leur pays par Falsterbö puis le Danemark. En France comme en Europe, le Milan royal passe principalement selon un axe Nord-est/Sud-ouest, franchissant les Pyrénées en grande majorité (99%) par le Pays-Basque pour les oiseaux hivernant en Espagne (Devisse & Urcun 1994). Quelques individus (entre 20 et 100 par an à chaque passage, Fergusson-Lees & Christie 2001) franchissent Gibraltar pour aller hiverner au Maroc. Noté en très faible nombre au passage en Sicile et au Cap Bon (Tunisie). Plus à l’est, moins d’une dizaine migrent chaque année par le delta du Bosphore (Acar et al. 1977) et quelques oiseaux passent chaque printemps à Suez en Egypte (Zalles & Bildstein 2000). Des oiseaux égarés ont atteint l’Inde et le Bengladesh. La migration de printemps est plus discrète que celle d’automne. Dans l’Est de la France, la voie alpine (Hucel) est privilégiée par rapport à la vallée du Rhône.

Erratisme des immatures 

La majeure partie des oiseaux marqués revient au cours de sa 2e année civile dans sa région de naissance. En dehors d’un retour très précoce (3/2), les premiers oiseaux sont vus qu’en mars et la plupart ne reviennent qu’en avril-mai. Certains oiseaux reviennent beaucoup plus tardivement, juin parfois. A partir de juin, les contrôles d’oiseaux de 2e année se font plus rares et sont inexistants en juillet. Quatre oiseaux observés à plusieurs centaines de kilomètres au nord ou nord-est de leur site de naissance, mettent en évidence un phénomène d’erratisme vers le nord (Mionnet & Riols 2009).

Comportement inhabituel 

Pour l’anecdote, un oiseau suisse suivi par balise Argos en 2004-2005 a effectué 2 fois sa migration au cours d’un même printemps : après avoir hiverné dans la Haute-Garonne, il (Oscar) a regagné la Suisse au printemps, mais 10 jours après son retour, est retourné sur ses quartiers d’hiver, pour finalement revenir en Suisse deux semaines plus tard. Le plus étonnant est que cet oiseau a reproduit le même schéma l’année suivante ! Retrouvez tous ces éléments sur http://www.fr.ch/mhn/fr/pub/projets/milan_royal.htm.

Passage postnuptial 

En France, il est signalé dès la fin du mois de juillet à Fort l’Ecluse, Ain, dès le 10 août à Organbidexka, mais seulement dès le 5 septembre à la Montagne de la Serre, pour s’achever autour du 15 décembre (mais les suivis migratoires s’arrêtent généralement mi-novembre). A Organbidexka, 10% des oiseaux sont passés au 27 septembre et 90% au 31 octobre (Urcun 1999). La médiane (50%) se situe le 13 octobre à Organbidexka, le 15 octobre aux Conches. Dans l’ensemble du pays, le passage débute vraiment à la fin du mois de septembre et culmine durant tout le mois d’octobre, sans pic marqué.
Environ 5000 oiseaux franchissent les cols du Transpyr ces dernières années. Les deux autres sites d’importance au niveau national sont le défilé de Fort l’Ecluse, où passent entre 2000 et 5000 oiseaux (4479 en 2005), et la montagne de la Serre, avec 1600 oiseaux en moyenne (2910 en 1999).

La traversée des Pyrénées s’effectue principalement de la deuxième quinzaine de septembre à la deuxième d’octobre pour prendre fin à la mi-novembre. Le gros de la migration s’effectue néanmoins pendant tout le mois d’octobre. Contrairement à beaucoup d’autres espèces de rapaces, le Milan royal n’a pas modifié significativement ses dates de migration. Les oiseaux de première année migrent avant les adultes (deux à cinq jours) et leur proportion est le facteur qui influence le plus significativement le total annuel d’oiseaux comptabilisés (Urcun2009).

Passage prénuptial 

Plus diffus que le passage postnuptial, il s’étend de la deuxième décade de février à la fin mai (Dubois et al. 2001). Au Hucel, Haute-Savoie, l’un des principaux sites pour cette espèce au printemps (environ 700 individus), le passage est le plus marqué lors de la première décade de mars, puis demeure ensuite relativement uniforme jusqu’à la fin d’avril. Par contre, aucun suivi migratoire ne permet de mettre en évidence le passage prénuptial à travers les Pyrénées (il est très faible le long des côtes Méditerranéennes, à Gruissan et Leucate).
Un des oiseaux suisses munis de balise Argos hivernant en Haute-Garonne a quitté son site d’hivernage le 22 février (après 5 mois sur place).

Evolution interannuelle

L’évolution interannuelle à Organbidexka répond le mieux à un modèle d’ordre 3 (R2=0,74) pour lequel on peut distinguer trois périodes : dans les années 1980 le nombre d’oiseaux transpyrénéens croît de façon régulière. Les années 1990 voient une chute drastique des effectifs (-50%). Depuis le début des années 2000, les effectifs ont commencé à croître régulièrement et atteignent ceux de la fin des années 1980 (Urcun 2009).

Records journaliers

  • 1274 le 28 septembre 2012 au défilé de l'Ecluse
  • 967 le 14 octobre 2011 au défilé de l'Ecluse
  • 843 le 13 octobre 2010 au col d'Organbidexka
  • 594 le 20 octobre 1990 à la Montagne de la Serre

Principaux sites de migration en France

Pour le Milan royal, les huit sites de migration active les plus importants en période postnuptiale sont :

  • Défile de l’Ecluse(1966-2011) : total saisonnier maximum 8823 inds en 2011 ; moyenne 2918 inds (calculée pour 1993-2011, 19 années avec 716 à 1429 heures de suivi par année).
  • Mont Mourex* (2010-2011) : 3145 en 2010 et 4730 en 2011 (resp. 484 et 647 h).
  • Col d’Organbidexka(1981-2011) : maximum 4592 en 1989 ; moyenne 3123 inds (1981-2011, 29 années pour 704 à 1477 heures de suivi par année sans 1991 et 1995).
  • Col de Lizarrieta(1983-2011) : maximum 4142 en 2011 ; moyenne 1776 (2002-2011, 10 années avec 442 à 739 h).
  • Redoute de Lindux(1982-2011) : maximum 3489 en 1990 ; moyenne 2043 (2002-2011, 10 années avec 400 à 1551 h).
  • Crêt des Roches(2008-2011) : maximum 3482 en 2010 ; moyenne 2676 (2008-2011, 4 années avec 305 à 695 h).
  • Creste(2008-2011) : maximum 2234 en 2011 (suivi partiel) ; moyenne 1611 (2008-2011, 4 années avec 173 à 845 h)
  •  (*) Ce site concerne principalement le même flux migratoire qu’au défilé de l’Ecluse.

En migration prénuptiale, Le Hucel (1998-2012) est le meilleur site en France (maximum 1371 en 2011), suivi par Saint-Gervais-d’Auvergne (1991-2010) : 1289 en 2009 (suivi partiel) et Pierre-Aiguille (1998-2011) : maximum 617 en 2011.

Statut juridique

Espèce protégée, inscrite sur l’annexe 1 de la directive Oiseaux.
UICN : En danger (NT).

Menaces liées à l’homme

  • Changement d’utilisation des terres/intensification de l’agriculture.
  • Empoisonnement direct volontaire.
  • Empoisonnement indirect (notamment par la bromadiolone).
  • Electrocution.
  • Eoliennes (il s’agit de l’un des rapaces les plus touchés) : 1. Aucune moisson ou fauche de cultures ne devrait avoir lieu dans les parcs éoliens avant la mi-juillet, 2. La base des éoliennes devrait être rendue impropre à la recherche de nourriture par les Milans royaux et être maintenue aussi petite que possible, 3. A l’intérieur des parcs éoliens, les zones en jachère ne devraient pas être fauchées ; 4. Les parcs éoliens devraient se situer à une distance minimale de 1000 mètres par rapport aux sites de nidification. 
  • La population hivernante profite fortement des décharges à ciel ouvert, amenées à disparaître. La mise en place de placettes d’alimentation pour les remplacer permettra peut-être de maintenir les effectifs hivernants (Thiollay & Bretagnolle 2004).

Bibliographie 

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Bruderer, B. & Boldt, A. 2001. Flight characteristics of birds : 1. radar measurements of speeds. Ibis 143: 178-204.

Couvent, S. & Tête en l’Air. 2006. Synthèse régionale 2006 du suivi de la migration en Rhône-Alpes. CORA.

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Ferguson-Lees, J. & Christie, D.A. 2001. Raptors of the world. Helm. London.

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Hernández-Carrasquilla, F. & Gómez-Manzaneque, A. 2000. Informe Sobre La Campaña De Anillamiento De Aves En España. Año 1999. Ecologia 14 : 291-330.

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