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Pluvier doré (Pluvialis apricaria)
Fig. 1 - Rob Felix (Saxifraga)
Fig. 1

Pluvier doré, Pluvialis apricaria (Linné, 1758)

Classification (Ordre, Famille) : Charadriiformes, Charadriidés

Description de l’espèce

De la taille d’un petit pigeon, le Pluvier doré présente un plumage très caractéristique en période nuptial. Les deux sexes présentent le dessus du corps « doré » écaillé de noir et le dessous noir. L’extension du noir est plus grande chez le mâle, s’étendant à l’avant du cou et au visage, jusqu’à la hauteur des yeux. Un trait blanc, très visible chez le mâle, moins chez la femelle, sépare la zone noire des parties dorées.

Les oiseaux immatures et les adultes en plumage internuptial sont très semblables. Leur dos est doré, tout comme les oiseaux en plumage nuptial, mais le dessous est beige uniforme, présentant tout au plus un dégradé plus foncé vers la poitrine et le cou qui sont finement rayés.

Le bec et les pattes sont noirs.

Le Pluvier doré a un vol aux battements d’ailes rapides. Le dessus est très uniforme, avec, lorsqu’il est observé d’assez près, un léger liseré clair qui contraste avec les rémiges marron foncé.

La mue des plumes de couverture a lieu de mi-mars à fin-avril, puis de juillet à fin-septembre, celle des rémiges primaires pour l’essentiel de mi-juin à mi-octobre (Cramp et al., 1998).

Le cri du Pluvier doré est unappel flûté isolé, parfois répété, que les oiseaux émettent souvent en vol lorsqu’ils sont en groupes, en migration ou en hivernage. Des cris longs et bi-syllabiques sont également émis au sol en période de reproduction. Le chant consiste en une trille flûtée, qu’il est parfois possible d’entendre en France en fin de période d’hivernage, un peu à la façon de l’œdicnème criard Burhinus oedicnemus (Tous les oiseaux d’Europe, J-C ROCHE, CD 2/ plage 35).

Longueur totale du corps : 26-29 cm. Poids : 160-280 g.

Difficultés d’identification (similitudes)

Seul le Pluvier argenté Pluvialis squatarola qu’il côtoie sur les sites côtiers lui ressemble. Il est cependant un peu plus dodu et son plumage « argenté » sur le dessus est diagnostique, ainsi que la tache noire de l’aisselle, très visible en vol qu’il porte en tous plumages.

Répartition géographique

On distingue deux sous-espèces de Pluviers dorés, dont l’essentiel de la distribution mondiale s’étend dans le nord de l’Europe : P. a. apricaria etP. a. altifrons (Stroudet al., 2004). P. a. apricaria se reproduit essentiellement dans les Îles Britanniques (80% de la population, selon Thorup, 2006), dans le sud de la Norvège, en Suède, dans les Pays Baltes, au Danemark et en Allemagne, à raison d’effectifs assez faibles dans ces deux derniers pays. Des cas de reproduction ponctuelle irrégulière ont été notés en Haute-Belgique.

La sous-espèce P.a. altifrons est largement distribuée en Islande, aux Îles Féroé, en Russie, en Sibérie, dans le nord de la Scandinavie et en Ecosse.

La distribution hivernale s’étend à une grande partie du pourtour méditerranéen et de l’Europe occidentale, essentiellement à l’ouest et au sud de l’isotherme de janvier de 1°C. Des effectifs non négligeables hivernent en Afrique du Nord et en Turquie. L’extrême sud de l’aire d’hivernage atteint l’Afrique de l’Ouest.

En Europe, les plus gros contingents de pluviers dorés hivernants sont dénombrés sur les zones humides au Royaume-Uni et en Irlande (Gilissen et al., 2002), mais il semblerait que l’espèce soit beaucoup plus abondante en Espagne et en France, où elle se distribue largement dans les espaces agricoles.

En France, le Pluvier doré est présent en hivernage, surtout dans la moitié ouest du pays. Il est abondant sur certaines zones humides, autour de plans d’eau ou sur les vasières de la côte atlantique et de la Manche, spécialement en halte migratoire et lors des vagues de froid. La Baiede Goulven, la Réserve Naturelle de Moëze, la Baie de l'Aiguillon et Pointe d'Arçay, la Loire Amont et le Littoral Picard figurent parmi les sites majeurs qui abritent plusieurs milliers d’individus en janvier (LPo-Wetlands International, 2007 non publié).

Ecologie

Le Pluvier doré est une espèce nicheuse du grand Nord, qui affectionne particulièrement les milieux de toundras et les tourbières, mais il s’installe également dans des sites alpins à végétation rase. En zones à climat atlantique (Danemark et Îles Britanniques essentiellement), il installe son nid dans des milieux acides, le plus souvent tourbeux, à micro-climat froid et à végétation rase. Les landes et les grandes tourbières sont particulièrement appréciées, qu’elles soient situées sur des reliefs (Ecosse, Pays de Galle) ou en plaines (Danemark, Estonie).

En hiver, il fréquente principalement les grandes plaines de cultures, les prairies, les polders, les marais côtiers et les vasières, souvent en groupes mixtes, associé au Vanneau huppé (Vanellus vanellus). Il se pose plus volontiers dans les secteurs à bonne visibilité, sans rideau de végétation, souvent sur les secteurs bombés (Gillingset al., 2007). En zones de cultures, il occupe surtout les parcelles plantées de céréales d’hiver, les chaumes et les surfaces nues (betteraves après récolte), spécialement lorsqu’elles ont été amendées avec du fumier. Bien que statistiquement plus abondant en cultures, il n’est pas impossible que la préférence pour ce milieu soit biaisée par l’exploitation diurne qu’il en fait en période de repos. De nuit, la dispersion s’effectue vers les zones prairiales où les oiseaux s’alimentent préférentiellement (Gillings, 2003 ; Trolliet & Aubry, 2005). En Espagne et au Portugal, il est aussi abondant dans les vastes dehesas et montados où les pâturages et cultures sont plantés de chênes persistants clairsemés.

Comportement

Les populations de Pluvier doré sont totalement migratrices, exceptés les nicheurs des Îles Britanniques, migrateurs partiels. Les reproducteurs de l’Arctique quittent les lieux de reproduction à l’envol des jeunes, dès juillet pour les plus précoces, en septembre pour la plupart. Les regroupements en sites de mue et en haltes migratoire, qui peuvent rassembler des milliers d’individus, sont alors observables sur quelques grands sites habituels, notamment en mer des Wadden (Pays-Bas, Allemagne et Danemark).

La plupart des Pluviers dorés arrivent à partir d’octobre en France. Une bonne part de ce contingent y passera l’hiver, les autres poursuivent leur route pour hiverner dans la Péninsule Ibérique et au Maroc pour la plupart.

La migration de retour démarre dès la mi-février (ORNIS, 2001). Des « reflux » sont cependant observables lorsque le froid sévit à cette période (Balança, 1984). Les migrateurs peuvent alors revenir vers les sites côtiers où l’accès à la nourriture demeure mieux assuré en période de gel.

Essentiellement grégaires en dehors de la période de nidification, les Pluviers dorés se nourrissent en petits groupes. Leur activité est également nocturne, notamment sur les vasières côtières, où ils peuvent s’adapter aux horaires des marées qui rythment leurs cycles nycthéméraux, à la manière des Pluviers argentés avec lesquels ils y partagent l’espace (Boileau et al., 2003).

Reproduction et dynamique de population

L’arrivée sur les sites de reproduction s’étale entre avril (Ecosse) et début mai (Scandinavie). La ponte a lieu entre mi-avril dans le sud de l’aire de distribution et fin mai dans les zones arctiques.

Le nid, assez sommaire, est placé dans une touffe de végétation dense ou entre des pierres. Il consiste en une légère dépression du sol garnie de quelques mousses et débris végétaux.

La ponte compte 4 œufs, parfois trois (rarement 2 ou 5), de couleur terne, fortement tachés de marron à roux.

L’incubation dure de 28 à 31 jours. Les poussins nidifuges sont capables de voler dès l’âge de 25 à 33 jours, souvent un peu avant d’avoir atteint la taille adulte.

L’âge de la première reproduction est atteint à un an (CRAMP et al., 1998).

Le succès de reproduction mesuré en Grande-Bretagne montre que le nombre de cas d’échecs des nids est relativement élevé, atteignant 38 %. Les couples qui produisent des jeunes à l’envol atteignent une moyenne de 3,6 jeunes par nichée. Ce chiffre n’atteint que 2,2 jeunes en prenant en compte également les couples qui ont échoué (Ratcliffe In CRAMP et al., 1998). Le succès de la reproduction semble dépendant de l’abondance en Tipules, proie principale des jeunes de pluviers dorés (Pearce-Higgins & YALDEN, 2004).

La longévité maximale observée en conditions naturelles grâce aux données de baguage est d’environ 13 ans (STAAV, 2001).

Régime alimentaire

Le régime du Pluvier doré est varié, comportant une large gamme d’invertébrés où les carabidés et lombrics dominent. L’alimentation se compose aussi de divers éléments végétaux, y compris des baies, des semences et de jeunes pousses. La plupart des proies sont capturées en surface du sol, ou à faible profondeur (1-2 cm).

Habitats de l’Annexe I de la Directive Habitats susceptibles d’être concernés

1130 - Estuaires (Cor. 11.2 et 13.2)

1140 - Replats boueux ou sableux exondés à marée basse (Cor. 14)

1150*- Lagunes côtières (Cor. 21)

1160 - Grandes criques et baies peu profondes (Cor. 12)

1330 - Prés salés atlantiques (Glauco-Puccinellietalia maritimae) (Cor. 15.3)

3130 - Eaux stagnantes, oligotrophes àmésotrophes avec végétation du Littorelletea uniflorae et/ou du Isoëto-Nanojuncetea (Cor. 22.11 x (22.31 & 22.32)

3150 - Lacs eutrophes naturels avec végétation du Magnopotamion ou de l’Hydrocharition (Cor. 22.13 x (22.41 et 22.421))

3160 - Lacs et mares dystrophes naturels (Cor. 22.14)

Statut juridique de l’espèce

Espèce chassable, inscrite aux Annexes I, II/2 et III/2 de la Directive Oiseaux, à l’Annexe III de la Convention de Berne et à l’Annexe II de la Convention de Bonn.

Espèce listée en catégorie C1 (nord de l’Europe / ouest de l’Europe et nord ouest de l’Afrique) dans l’Accord sur les Oiseaux migrateurs d’Afrique-Eurasie (AEWA) : populations comptant plus de 100 000 individus et susceptibles de bénéficier dans une large mesure d’une coopération internationale.

Présence de l’espèce dans les espaces protégés

Les Pluviers dorés hivernants et migrateurs en halte sont largement dispersés dans les espaces agricoles qui ne bénéficient d’aucun niveau de protection (Caupenne, 1987 ; Poitou-Charentes Nature & Groupe Ornithologique des Deux Sèvres, 2003). Un certain nombre d’espaces protégés abritent aussi des effectifs non négligeables, dont les suivants : Marais Poitevin et baie de l’Aiguillon (ZPS, RNN, RNCFS), Réserve Naturelle de Moëze, Baie d’Audierne (ZPS & RNN), Baie de Goulven (ZPS) et Reserve Naturelle de St-Denis du Payré (LPO-Wetlands International, 2007 non publié).

Etat des populations et tendances d’évolution des effectifs

L’espèce a un statut de conservation favorable en Europe. Les effectifs nicheurs sont estimés entre 460 000 et 740 000 couples en Europe, essentiellement distribués en Islande (250 000 – 310 000 couples), en Norvège (50 000 – 100 000 c.), en Russie (24 000 – 95 000 c.) et en Suède (50 000 – 90 000 c. ; BirdLife International, 2004a). Anciennement présent en Belgique, aux Pays-Bas, dans le sud de l’Irlande et de l’Angleterre, les populations les plus méridionales ont disparu ou sont relictuelles. La population nicheuse de l’Union Européenne présente un statut défavorable, en raison de ce déclin ancien, qui a mené les effectifs nicheurs à un niveau faible (« depleted » ; BirdLife International, 2004b). Cela a justifié la préparation d’un plan d’action européen (Béchet, 2006-non publié).

La population totale des deux sous-espèces compterait entre 1,57 et 2,14 millions d’individus en hiver (Delany & Scott, 2006), dont plus de 820 000 en Europe (BirdLife International, 2004). Selon cet ouvrage, la France, le Royaume-Uni et le Portugal constituent les quartiers d’hiver principaux. Les travaux récents montrent que les effectifs présents en France méritent une révision à la hausse, à la faveur d’une meilleure estimation de la population qui hiverne dans le grand Ouest (Trolliet & Aubry, 2005), en raison d’augmentations constatées dans certains sites et/ou de la modification de la distribution (Trolliet et al, 2005). Pour le quart nord-ouest du pays, l’estimation récente donnée par Trolliet & Aubry (2005) est de 1,2 million d’individus en hiver, soit un effectif présent en France qui serait supérieur à l’estimation européenne actuelle. L’effectif national a été estimé en 2007 à 1.51 millions d’individus, soit environ la moitié des effectifs européens (TROLLIET, 2007). Les observations réalisées en Espagne placent ce pays parmi les principaux pour l’accueil des pluviers dorés hivernants (DEL MORAL, comm. pers.).

En France, l’espèce, « A Surveiller » en hiver, n’est pas considérée comme menacée (Rocamora & Yeatman-Berthelot, 1999). Faute de suivi approprié mené sur le long terme, on ne dispose pas d’informations suffisantes qui permettent d’établir la tendance globale des populations qui sont présentes dans l’hexagone en hiver et en migration. On sait cependant que des fluctuations considérables des effectifs se produisent selon les conditions hivernales et le succès reproducteur des populations nordiques (GUNNARSSON et al., 2006).

Menaces potentielles

Les menaces identifiées (Béchet, 2006-non publié) sont par ordre d’importance :

- Modifications des pratiques agricoles et d’élevage. Elles affectent tant les zones de nidification (abandon & reboisement), que les sites d’hivernage. En Angleterre, la diminution des espaces prairiaux et le moindre intérêt alimentaire des cultures en hiver sont à l’origine de la redistribution d’une partie des hivernants sur les sites côtiers. Il est très probable qu’une situation similaire se produise en France. Le nombre de Pluviers dorés présents en zones humides côtières y augmente sensiblement (LPO-Wetlands International, 2007 non publié).

- Prélèvements. La chasse au Pluvier doré est actuellement autorisée dans trois pays de l’UE : la France, le Portugal et Malte. Alors que l’impact des prélèvements est considéré comme faible à moyen, ils peuvent être localement plus importants. Ils sont estimés à près de 63 000 individus en France en 1998-1999, prélevés essentiellement dans les départements de la façade atlantique (Trolliet & Girard, 2000) et à 31 000 au Portugal (BECHET, 2006). Aucune donnée statistique n’est disponible pour Malte.

- Plus localement, le changement climatique pousse les couples nicheurs à s’installer dans des habitats sub-optimaux et Pearce-Higgins et al. (2005) montrent un possible décalage entre la phénologie du Pluvier doré et celle de sa proie principale (Tipules) en raison du changement climatique, provoquant ainsi une baisse du succès de reproduction. 

- Le dérangement par les activités récréatives a également été cités. FINNEY et al. (2005) montrent son effet sur la distribution des pluviers dorés, mais pas sur leur succès de la reproduction.

Propositions de gestion

Le plan d’action européen (Béchet, 2006-non publié) énonce des mesures de conservation afin de restaurer les populations nicheuses du sud de l’aire de distribution européenne et d’empêcher tout déclin des populations nordiques. Il propose des actions selon les trois grands axes suivants, en fonction des menaces identifiées :

- Dans les zones de nidification, des mesures spécifiques au maintien des espaces pâturés et des landes basses doivent être mises en place (limiter les reboisements, encourager le pâturage ovin et gérer les landes par le feu).

- En migration et en hivernage, il faut veiller au maintien d’entités fonctionnelles d’accueil, à savoir des espaces qui incluent tant les zones de repos que d’alimentation. L’accent sera porté sur la qualité trophique des milieux, assurée par le maintien de surfaces herbeuses rases des pâtures permanentes et une mosaïque de cultures. La limitation des pesticides apparaît essentielle pour permettre le maintien d’une alimentation abondante et diversifiée, dont les vers de terre et la faune épigée en général. La promotion de l’agriculture biologique dans les grandes plaines de cultures peut participer à cet objectif.

- La chasse dans les Etats Membres ne peut s’effectuer qu’en s’appuyant sur des données statistiques fiables des données de prélèvements et une évaluation des possibilités offertes par la dynamique des populations. En ce qui concerne la France, la disposition judicieuse des réserves de chasse, la mise en place de PMA et l’activation rapide des interruptions du tir lors des périodes de gel permettraient à l’espèce de conforter ses effectifs en plaines de cultures.

Etudes et recherches à développer

La répartition hivernale du Pluvier doré a fait l’objet de diverses enquêtes hivernales ces dernières années dans l’Ouest de la France (Poitou-Charentes Nature & Groupe Ornithologique des Deux Sèvres, 2003 ; Trolliet & Aubry, 2005). Ces suivis méritent une extension à l’ensemble de l’aire d’hivernage de l’espèce afin de fournir une estimation de l’effectif présent en hiver, et une reconduction interannuelle pour mesurer les tendances à moyen et long terme.

En ce qui concerne la chasse, la collecte systématique des données de prélèvements permettra d’évaluer l’impact de cette pratique sur la démographie de l’espèce.

Bibliographie

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Source: Cahiers d'habitat Oiseaux

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