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Guifette moustac (Chlidonias hybrida)
Fig. 1 - Luc Hoogenstein (Saxifraga)
Fig. 1

Guifette moustac, Chlidonias hybrida (Pallas, 1811)

Classification (ordre, famille) : Charadriiformes, Sternidés

Description de l’espèce

Petite sterne à la silhouette trapue, la queue modérément échancrée, et au vol léger et capricieux. En plumage nuptial, la calotte noire s’étend de la base supérieure du bec jusqu’au bas de la nuque. Les couvertures parotiques, les sous-alaires et les sous-caudales bien blanches tranchent avec les parties inférieures gris-sombre, pouvant paraître noirâtre (ventre et flancs) sous certaines lumières. Les parties supérieures, les ailes et la queue sont uniformément grisâtres assez pâle. Le bec, court, épais et pointu ainsi que les pattes sont de couleur rouge brique. En plumage internuptial, l’arrière de la calotte est finement rayé de noir, une tache noire est présente juste en arrière de l’œil. Les parties inférieures sont blanches et le dessus est uniformément gris pâle. En plumage juvénile, le manteau et les scapulaires sont fortement rayées de taches noires et brun jaunâtres lui conférant un aspect écailleux.

La mue postnuptiale, complète, commence en juin/juillet sur les sites de nidification, alors que la mue prénuptiale, partielle, se déroule principalement en février/mars (CRAMP et al., 1998).

Sur les aires de reproduction, la voix consiste en un cri rauque et répété (Tous les oiseaux d’Europe, J.-C. Roché, CD 2/plage 84).

Longueur totale du corps : 22 à 24 cm. Poids : 89 à 96 g.

Difficultés d’identification (similitudes)

Par rapport aux Guifettes noires Chlidonias niger et leucoptères Chlidonias leucopterus, elle présente un aspect plus massif. Les ailes et les pattes sont plus longues, la tête plus aplatie, le bec plus épais. En plumage nuptial, elle est souvent confondue avec les sternes pierregarin Sterna hirundo et arctique S. paradisaea. Elle en diffère par sa taille inférieure, la silhouette moins élancée et gracile, les ailes plus courtes et plus larges, le vol moins direct, papillonnant et nonchalant, la teinte gris sombre du dessous et la queue moins échancrée et plus courte. En plumage internuptial, elle diffère de la Guifette leucoptère par l’arrière de la calotte et la nuque noirâtre, fortement striée et par l’homogénéité et l’uniformité des parties supérieures. Les critères morphologiques, de comportement et de vol la différencient des sternes en plumage hivernal et juvénile.

Répartition géographique

La Guifette moustac possède une vaste distribution clairsemée dans le Paléarctique, en Afrique de l’Est et en Océanie. Polytypique, on identifie trois sous-espèces réparties sur trois continents. La forme nominale C. h. hybrida niche sous les latitudes moyennes et tempérées du Paléarctique Occidental : Europe de l’Ouest et Centrale, Proche- et Moyen-Orient, marginalement en Afrique du Nord, à l’est jusqu’à la Russie Occidentale et le Kazakhstan. La sous-espèce C. h. delalandii occupe la façade est et la corne de l’Afrique, C. h. javanicus niche en Australie (CRAMP et al., 1998). La population européenne, très fragmentée, est bien représentée dans les régions d’étangs, des pays bordant la Méditerranée, la mer Noire et la mer Caspienne, ainsi que localement en Europe Centrale, jusqu’en Lituanie et en Biélorussie (REEBER, in ROCAMORA & YEATMAN-BERTHELOT, 1999). Les bastions de l’espèce se situent en Espagne (delta du Guadalquivir et delta de l’Ebre) et en Europe Orientale : Russie, Ukraine, Hongrie (Hortobagy), Roumanie (delta du Danube) (GORMAN, 2000) jusqu’à la Turquie (Lac Apolyont).

En France, la population est dispersée, se répartissant dans quatre secteurs géographiques : les régions Centre, Rhône-Alpes, Provence-Alpes-Côte-d’Azur et Pays de la Loire. Elle niche principalement en Sologne, Brenne, Forez, Dombes et récemment, mais de manière massive, sur le lac de Grand-Lieu. La Brière, le Cher et la Camargue (FLITTI, in LASCEVE et al., 2006) accueillent irrégulièrement des colonies en période de reproduction. Des tentatives de nidification infructueuses se sont également produites dans le Pas-de-Calais et dans la Manche (DUBOIS et al., 2000).

Les populations d’Europe du sud-ouest hivernent essentiellement en Afrique de l’ouest et tropicale, du Sénégal au Golfe de Guinée, au sud jusqu’à la République Démocratique du Congo. Les oiseaux d’Europe Orientale rejoignent leurs quartiers d’hivernages situés en Asie Centrale (de l’Iran à l’Inde) et en Afrique de l’est (CRAMP et al., 1998). L’hivernage est également constaté de manière marginale le long du pourtour méditerranéen (Espagne, Algérie, Tunisie et France). En France, un hivernage régulier a été relevé depuis le milieu des années 1980 en Camargue (DUBOIS, 1993, RUFRAY et al., 1998). Il s’est par la suite fortement accru au début des années 1990, conséquence d’hivers doux successifs, atteignant près de 200 individus en 1993 des Bouches-du-Rhône à l’Hérault (RUFRAY et al., 1998).

Ecologie

Lors de la nidification, la Guifette moustac fréquente les marais d’eau douce à de faible profondeur et d’étendue variable, les viviers et les mares stagnantes, les étangs de pisciculture (en Rhône-Alpes par exemple) (BERNARD & TEYSSIER, 2003) à la lisière d’une végétation émergente, flottante ou immergée et occasionnellement les prairies inondées (Brière) ou les étangs saumâtres (littoral méditerranéen) (REEBER, in ROCAMORA & YEATMAN-BERTHELOT, 1999). La présence d’étendues de végétation aquatique bien développées (Nénuphar, Nymphéa, Renouée amphibie, Plantain d’eau, Glycérie, Fenouil aquatique, Scirpe lacustre, potamots, Châtaigne d’eau), est primordiale pour l’installation de colonies, car elles constituent un socle sur lequel sont construits les nids. La nature, la structure et la densité des végétaux ont un impact sur le succès de reproduction de la Guifette. En Dombes, la productivité moyenne des couples a ainsi été évalué à 0.81 jeunes à l’envol pour les couples ayant niché sur la Châtaigne d’eau contre 0.61 dans les joncs et 0.27 dans les scirpes lacustres (BENMERGUI & BROYER, 2005).

Comportement

La Guifette moustac chasse en volant au-dessus de l’eau, mais également au niveau des champs, des prés et des rizières (GEROUDET, 1999). Lorsque la proie est repérée, elle vole sur place puis s’élance dans un rapide piqué, les ailes immobiles, l’attrapant instantanément.

Espèce monogame, elle niche en colonie pouvant atteindre plusieurs centaines de couples, avec une fidélité aux sites de reproduction qui reste méconnue (CRAMP et al., 1998). Le retour printanier se produit à partir de fin mars, mais l’installation des colonies, progressive, n’a lieu qu’aux mois d’avril et mai et peut s’échelonner jusqu’en juillet. En effet, la saison de reproduction est très étalée, tant à l’intérieur d’une région qu’au sein même d’une colonie (BERNARD & TEYSSIER, 2003). Lorsque la reproduction est achevée, on la trouve sur les lacs, étangs et réservoirs, localement sur les lagunes côtières et les estuaires. Elles se réunissent au coucher du soleil dans de grands dortoirs où accourent plusieurs milliers d’oiseaux. Au lever du jour, elles repartent vers les aires de nourrissage où elles passent plus de la moitié de la journée en mouvement permanent.

Migratrice transsaharienne, la dispersion postnuptiale intervient dès le début du mois de juillet. La migration se poursuit jusqu’au mois d’octobre. On assiste alors parfois à des stationnements importants d’oiseaux en halte migratoire (1000 le 15 août 1977 sur la Durance à Avignon) (DUBOIS et al., 2000). Les mouvements des populations d’Europe Occidentale sont orientés vers le sud-ouest, à travers les terres, l’espèce empruntant les grands fleuves, les rivières et les zones humides.

Reproduction et dynamique de populations

Dans les espaces découverts et en eau peu profonde (60 cm à 1 m), les oiseaux amoncellent en entrecroisant à plat, des tiges vertes sur une épaisseur de 15 à 20 cm, formant une plateforme flottante de 40 à 50 cm de large, retenue par les joncs ou par les tapis immergés de végétation aquatique. Sur cet amas, quelques apports de végétaux palustres esquissent une cuvette qui retiendra les œufs (GEROUDET, 1999). Les nids sont groupés, très proches les uns des autres, de l’ordre d’un à deux mètres. 3 œufs sont généralement déposés d’avril à juin, les pontes à 4 ou 5 œufs sont attribuées à des pontes parasites c’est à dire d’autres femelles (Latraube, 2006). L’incubation, qui dure 20 jours (Cramp et al., 1998, Bakaria et al., 2002), est assurée par le couple. Les poussins, élevés par les deux parents, quittent le nid au bout de 12 à 14 jours, et volent au bout de trois semaines.

Le succès de la reproduction est affecté par des conditions météorologiques défavorables (vents forts, averses) pouvant entraîner une destruction partielle des nids, et par la pression des prédateurs potentiels opérant sur les œufs et poussins. Les poussins sont par ailleurs l’objet d’un fort taux d’endoparasitisme dont on connaît encore mal l’impact sur le succès de reproduction (FONTENEAU et al., 2007).

La Guifette moustac atteint sa maturité sexuelle à 2 ans mais des oiseaux sont capables de se reproduire dès la première année. La longévité actuelle est estimée à 10 ans, mais elle pourrait être dépassée.

Régime alimentaire

La Guifette moustac se nourrit de petits poissons de quelques cm de long (gardons, ablettes, perches-soleil), d’insectes et larves (Hémiptères et Hyménoptères) et plus marginalement d’amphibiens, crustacés, araignées et têtards qu’elle chasse au niveau des plans d’eau, des rizières ou des champs cultivés. A la différence des autres guifettes européennes, elle se nourrit davantage au-dessus des terres, s’éloignant parfois jusqu’à 6 km de son nid (GEROUDET, 1999 ; CRAMP et al., 1998).

Habitats de l’Annexe I de la Directive Habitats susceptibles d’être concernés

1130 - Estuaires (Cor. 13.2 et 11.2)

1150*- Lagunes côtières (Cor. 21)

1160 - Grandes criques et baies peu profondes (Cor. 12)

3130 - Eaux stagnantes, oligotrophes àmésotrophes avec végétation du Littorelletea uniflorae et/ou du Isoëto-Nanojuncetea (Cor. 22.11 x (22.31 & 22.32))

3140 - Eaux oligo-mésotrophes calcaires avec végétation benthique à Chara spp. (Cor. 22.12x22.44)

3150 - Lacs eutrophes naturels avec végétation du Magnopotamion ou de l’Hydrocharition (Cor. 22.13 x (22.41 et 22.421))

3160 - Lacs et mares dystrophes naturels (Cor. 22.14)

3250 - Rivières permanentes méditerranéennes àGlaucium flavum(Cor. 24.225)

3270 - Rivières avec berges vaseuses avec végétation du Chenopodion rubri p.p. et du Bidention p.p.(Cor. 24.52)

3280 - Rivières permanentes méditerranéennes du Paspalo-Agrostidion avec rideaux boisés riverains à Salix et Populus alba (Cor. 24.53)

Statut juridique de l’espèce

La Guifette moustac est une espèce protégée (Arrêté modifié du 17 avril 1981), inscrite à l’Annexe I de la Directive Oiseaux  et à l’Annexe II de la Convention de Berne.

Espèce listée en catégorie A3c (populations reproductrices d’Europe de l’Ouest et du nord-ouest de l’Afrique) dans l’Accord sur les Oiseaux migrateurs d’Afrique-Eurasie (AEWA) : populations comptant entre 25 000 et 100 000 individus, et considérées comme menacées en raison d’une manifestation d’un déclin significatif à long terme.

Présence de l’espèce dans les espaces protégés

L’ensemble de la population nicheuse française est présente dans les ZPS de Brenne, de Dombes, du Forez, de Sologne, du Lac de Grand-Lieu et de Camargue. Ces deux dernières sont également désignés en réserve naturelle.

Etat des populations et tendances d’évolution des effectifs

La population nicheuse européenne compte moins de 87 000 couples, dont 24 500 à 29 500 hors Russie et Turquie. Elle a subi une régression modérée de 1970 à 1990. Les effectifs se sont stabilisés durant la période 1990-2000, fluctuant toutefois fortement et sans atteindre pour autant les niveaux ayant précédé son déclin (BIRDLIFE INTERNATIONAL, 2004). Les bastions de l’espèce, abritant plus de 5 000 couples, sont, en dehors de l’Espagne, plutôt orientaux : Russie (10 000-25 000 couples), Ukraine (5 000 à 8 500 couples) et Roumanie (8 000 à 12 000 couples). Régressant en Europe malgré une distribution globalement stable, elle présente un statut de conservation défavorable (BIRDLIFE INTERNATIONAL, 2004).

En France, il s’agit d’un nicheur rare représentant moins de 10% de la population européenne, dont le statut de conservation est considéré comme « à surveiller » (ROCAMORA & YEATMAN-BERTHELOT, 1999). La tendance ancienne est peu définie bien que la distribution semble stable dans son ensemble. MAYAUD (1936, 1953) donnait une répartition des nicheurs sensiblement similaire à celle de la fin du 20ème siècle, avec cependant des cas de reproductions dans certains départements (Haute-Marne, Yvelines, Côtes d’Or) durant les années 1950, au moment d’une apparente période d’expansion. En 1963, plusieurs milliers de couples sont signalés en Camargue (DUBOIS et al., 2000).

La population nicheuse française gravite autour de 2 000-3 000 couples (LPO, 2006 non publié). Les recensements exhaustifs effectués depuis le milieu des années 1980 font apparaître des effectifs nicheurs en augmentation sensible bien que très fluctuants (RIEGEL et al., 2006 ; SERIOT et al., 2004).

En 2005, les colonies sont réparties dans cinq bastions : Dombes (622 c.), Brenne (838 c.), Forez (108-121 c.), Sologne (197-244 c.) et plus récemment sur le Lac de Grand-Lieu qui est devenu le premier site (1248 c.) (Riegel et al., 2007). Bien que les effectifs soient très fluctuants, certaines tendances ont pu être mises en évidence, comme en Dombes, où on observe une diminution importante du nombre de colonies de 1999 (une trentaine) à 2004 (seulement 8), qui s’accompagne également d’une augmentation de la taille de ces colonies (BENMERGUI & BROYER, 2005). Depuis les années 1980, des cas de nidification plus ou moins anecdotiques sont observés en Brière, en Camargue et sur les étangs languedociens.

Menaces potentielles

La disparition de la végétation flottante des étangs, due à l’épandage d’herbicides ou à l’introduction de poissons herbivores entraîne une raréfaction des zones favorables à la nidification. Les campagnes de faucardage pratiquées au printemps par certains pisciculteurs (Brenne, Dombes) entraînent une destruction systématique des nids. La présence du Ragondin et du rat musqué a aussi un impact non négligeable sur les massifs de végétation flottante.

L’espèce est très vulnérable aux dérangements humains, rendant les colonies de nidification relativement instables. L’exposition des sites de reproduction aux activités touristique (baignade, sports nautiques) peut occasionner des dérangements importants.

La concentration accrue des oiseaux nicheurs, due à  une réduction du nombre de colonies, augmente la fragilité de la population vis-à-vis des perturbations (Brenne) (REEBER, in ROCAMORA & YEATMAN-BERTHELOT, 1999).

Propositions de gestion

La conservation des populations nicheuses implique le maintien des sites d’accueil occupés par l’espèce lors de la reproduction. Elle doit porter tant sur la sauvegarde des sites, que sur la gestion des habitats.

L’acquisition foncière et le classement en réserve naturelle, en permettant de limiter le dérangement, constituent des outils intéressants pour favoriser la nidification de la Guifette moustac. Cependant, ces outils de protection ne peuvent suffire pour une espèce qui change fréquemment d’étangs pour sa nidification, et des mesures de gestion rapides à mettre en place et adaptables s’avèrent nécessaires notamment pour les préserver des dérangements.

Il est ainsi possible de favoriser localement la mise en assec d’étangs certains étés, ce qui permet, l’année suivante, le développement d’une végétation naturelle indispensable à la nidification de la Guifette moustac (LATRAUBE et al., 2005).

La sensibilisation des propriétaires vis-à-vis du faucardage est également à privilégier. Le faucardage peut favoriser l’installation de colonies lorsqu’il est effectué au début du printemps, en mettant à disposition des oiseaux des matériaux utilisés pour la construction des nids. Il est toutefois nécessaire d’obtenir le juste équilibre évitant tant le faucardage intensif qui provoque une destruction des milieux que la fermeture des étangs par le développement de la végétation (roselières). La date de faucardage est donc primordiale, intervenant au plus tard en mars, afin d’éviter la destruction des nids et l’abandon des sites s’il est pratiqué trop tard.Il convient aussi d'éviter l'utilisation d'herbicides.

Par ailleurs, le maintien d’une grande disponibilité d’étangs potentiellement utilisables, si possible groupés, (par exemple en Brenne) offre la possibilité aux individus nicheurs de changer de site en cas d’échec de la reproduction (TROTIGNON et al., 1996).

Des exemples d'actions qui existent en Brenne et en Dombes mériteraient d'être étendues (REEBER, S., op. cit.).

Le contrôle des populations de ragondins doit être réalisé par piégeage à l’exclusion du poison.

Etudes et recherches à développer

Le suivi des populations nicheuses doit se poursuivre, avec une attention particulière au succès de reproduction et à la capacité de l’espèce à changer de site de reproduction.

Bibliographie

Bakaria, F., Rizi, H., Ziane, N., Chabi, Y. & Bankura, J.(2002).- Breeding ecology of whiskered Terns in Algeria, North Africa. Waterbirds 25:56-62.

BENMERGUI, M., & BROYER, J. (2005).- La Guifettemoustac : démographie et qualité des habitats. Etude en Dombes. Faune sauvage, 269 : 14-19.

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DUBOIS P.J. (1993).- Whiskered Terns wintering in France. Dutch Birding, 15 : 176.

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LATRAUBE, F., TROTIGNON, J., & BRETAGNOLLE, V. (2005).- Biologie de la reproduction de la Guifette moustac Chlidonias hybridus en Brenne (France). Alauda, 73 (4) :425-429.

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Source: Cahiers d'habitat Oiseaux

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